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Arthur (serviteur)

Correspondance Charles et Arthur :

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Bien le bonjour mon très cher Arthur, vous en souvenez peut être de moi ? Votre ancien patron de la brigade d'enquête de Levallois-Perret.

 Mais tous d'abord comment va votre famille ? Si tout va bien. Euhhhh. Je ne sais pas comment vous le dire ... 

Voulez-vous bien retourner avec moi, comme avant ? Parce que je suis envahie de demande d'enquête ... Je ne sais plus tenir. De plus, grains de riz ne met d'aucune aide.

S'il vous plais pouvez vous retourné dans moi.

Bien à vous.

Charles de la Fistinère.  

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Bien le bonjour cher Charles, mon désormais ex-acolyte,

A vrai dire en recevant le courrier du matin, le nombre de lettres étant élevé je m'attendais à beaucoup de choses interessante et en rapport avec le Pilipovirus. Hélas en apprenant que parmi ces lettres il y avait la vôtre, je compris vite que ce n'était qu'un cadeau empoisonné.

Votre proposition pour que je revienne à vos ordres sont hors de propos. En me virant, vous m'avez humilié, vous m'avez détruit. Je ne peux accepter votre offre. Qui plus est vous dites que vous êtes inondés d'enquête et que vous avez besoin d'aide ?? Il fallait y réfléchir à 2 fois avant de me virer !

Il va falloir beaucoup plus pour me convaincre de revenir.

Bien à vous,

Arthur Carrick

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Bonjour Arthur j'ai bien reçus votre lettre.

S'il vous plaît, revenez avec moi, je m’excuse de vous avoir renvoyé, nous sommes humains nous pouvons bien faire des erreurs ?

Allez rejoigniez moi, et vous aurez bien plus d’avantage, comme par exemple : un salaire plus conséquent, de meilleurs locaux, des avantages comme avoir une réduction sur les crêpes ou bien d’autres.

Et cette lettre est aussi une lettre d'excuse.

Veillez me pardonné.

Bien à vous. 

Charles de la Fistinère.  

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Cher Charles,

J'ai bien étudié votre proposition. sachez tout d'abord que depuis mon licenciment je m'ennuie éperdument. Revenir travailler à vous cotés me fait toute joie. Cependant je n'ai aps oublié notre mésaventure récente.

J'accepte de revenir. Cependant je serai plus sur mes gardes et ça ne sera pas à vous de me commanditer.

Bien à vous,

Arthur Carrick

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